Une enfance violente et de terribles abus ont marqué à jamais la vie de Lisbeth Salander. Le dragon tatoué sur sa peau est un rappel constant de la promesse qu’elle s’est faite de combattre l’injustice sous toutes ses formes. Résultat : elle vient de sauver un enfant autiste, mais est incarcérée dans une prison de haute sécurité pour mise en danger de la vie d’autrui. Lorsqu’elle reçoit la visite de son ancien tuteur, Holger Palmgren, les ombres d’un passé qui continue à la hanter resurgissent. Quelqu’un a remis à Palmgren des documents confidentiels susceptibles d’apporter un nouvel éclairage sur un épisode traumatique de son enfance.

Pourquoi lui faisait-on passer tous ces tests d’intelligence quand elle était petite ? Et pourquoi avait-on essayé de la séparer de sa mère à l’âge de six ans ? Lisbeth comprend rapidement qu’elle n’est pas la seule victime dans l’histoire et que des forces puissantes sont prêtes à tout pour l’empêcher de mettre au jour l’ampleur de la trahison. Avec l’aide de Mikael Blomkvist, elle se lance sur la piste d’abus commis par des officines gouvernementales dans le cadre de recherches génétiques secrètes. Cette fois, rien ne l’empêchera d’aller au bout de la vérité.

THE GIRL WHO TAKES AN EYE FOR AN EYE BY DAVID LAGERCRANTZ

Lisbeth Salander is an unstoppable force: Sentenced to two months in Flodberga women’s prison for saving a young boy’s life by any means necessary, Salander refuses to say anything in her own defence. She has more important things on her mind.

Mikael Blomkvist makes the long trip to visit every week – and receives a lead to follow for his pains. For him, it looks to be an important expose for Millennium. For her, it could unlock the facts of her childhood.

Even from a corrupt prison system run largely by the inmates, Salander will stand up for what she believes in, whatever the cost. And she will seek the truth that is somehow connected with her childhood memory, of a woman with a blazing birthmark on her neck – that looked as if it had been burned by a dragon’s fire . . .

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