Archive for February, 2021

J’ai eu beaucoup de peine à faire un choix de quelques oeuvres pour le blog, mais je vous laisse découvrir le reste sur son Instagram : Françoise Dedon

Née à Marseille en 1975, Françoise Dedon vit et travaille à Carqueiranne, dans le sud de la France.

Ses parents lui ont transmis leur gout pour les arts, sa mère ancienne élève des Beaux-Arts de Marseille, son père architecte paysagiste.

Elle a complété ses études par l’histoire de l’art, des visites des monuments, musées, sites si nombreux en Provence qu’ils sont un éternel vivier de créateurs.

Françoise Dedon structure ses toiles par des lignes épaisses, sombres, contrastant avec la douceur et la richesse du mélange de ses couleurs qui viennent les compléter.

Il se dégage de ses œuvres une harmonie troublante, à la fois délicate et puissante, presque brutale qui donne aux personnages, aux éléments, une présence ambiguë, onirique. Son art n’est pas discret, il s’impose.

La subtilité de l’art primitif qui s’immisce dans son travail est sensiblement liée à l’influence de ses nombreux voyages en Afrique Sub-Saharienne, en Asie, au Mexique…

La femme, la faune et la flore sont des sources d’inspiration inépuisables dans son œuvre.

Voici un extrait de l’interview pour “Art au Féminin”

Quel est votre parcours ?

J’ai vécu durant mon enfance dans un milieu ou l’art avait une place importante, ce qui a certainement contribué à m’ouvrir l’esprit très tôt. Ma mère a fait les beaux-arts, mon père paysagiste dessinait des plans de jardin sous mon regard, ma grand-mère collectionneuse de tableaux, sculptures, objets d’arts, m’emmenait à la découverte des musées et antiquaires de Marseille. Nous vivions au Mont des Oiseaux, sur une colline qui domine la mer méditerranée, les Iles de Porquerolles, du Levant et Port Cros, et j’aimais crayonner ce paysage exceptionnel. Nous étions abonnés à « Madame Figaro », chaque semaine je découvrais les pages mode, déco, les sublimes mannequins, actrices, les pubs, cette revue m’inspirait beaucoup, à l’époque nous n’avions pas internet, j’ai d’ailleurs réalisé durant cette période, de nombreux dessins de mode. Nous habitions près de Hyères les Palmiers qui organise tous les ans depuis 1985 le « Festival International de la Mode », présidé par de grands créateurs tel que Galliano, Paco Rabanne, Lagerfeld et bien d’autres. J’assistais à de nombreux défilés ce qui attisait ma passion pour le dessin de mode. Au lycée j’avais opté pour la filière littéraire section arts appliqués. J’étais et je suis toujours attirée par le design, cela m’intéresse d’imaginer des lampes, tables, luminaires, objets déco ce qui peut d’ailleurs apparaitre dans ma peinture actuelle.

– Comment et quand avez-vous commencé la peinture ?

Très jeune, mon premier tableau était un paysage qu’on m’avait demandé de réaliser pour la Kermesse de l’école, un vieux monsieur l’avait acheté et m’avait félicité pour mon travail. Je dessinais beaucoup c’était une forme de liberté d’évasion, je créais des petites bande-dessinées cependant, imaginer une histoire à partir d’un seul dessin m’intéressait davantage. J’ai exposé dans les années 90 dans ma région à Aix en Provence, Marseille, Toulon, Cassis ou je commençais à vivre de mon art, mais la naissance de mes enfants a stoppé mon élan, je n’arrivais pas à concilier les deux. J’ai donc repris les pinceaux des années plus tard en 2019, mes enfants avaient grandis. Depuis je travaille avec une Galerie qui me permet d’exposer en France ou à l’étranger. Une partie de mes œuvres se trouve depuis septembre 2020 dans une Galerie d’Art au centre de Barcelone jusqu’au mois d’avril 2021. J’ai pu également exposer malgré la crise sanitaire dans le sud de la France en solo-show tout le mois d’octobre 2020.

– Parlez-moi de votre Art / Quelles sont vos sources d’inspirations ?

J’ai pu voyager à travers le monde, au Brésil, Mexique, Sri Lanka, Tanzanie, Kenya… Mon mari travaillait en Côte d’Ivoire, je l’ai rejoint et nous avons vécu quelques temps dans ce pays. Ces découvertes de nouveaux peuples, de nouveaux horizons m’ont certainement impacté. Je suis sensible au travail des artisans, des maisons de couture lorsqu’elles dévoilent leur collection, au savoir-faire de nos grands Chefs cuisinier et Pâtissier, l’excellence du travail des Compagnons du Devoir. Pénétrer dans un lieu chargé d’histoire, toucher les pierres d’une église, d’un temple, d’une vielle demeure peu m’émouvoir. Toutes ces passions, toutes ces visions qui me touchent s’immiscent dans mon travail. Cependant ce que je préfère c’est puiser au fond de mon imaginaire, mixer mes émotions, mes souvenirs en vue d’une création, éviter de me servir du travail d’un artiste, peintre ou autre, travailler principalement sur le ressenti sur ce qui émane de mon imaginaire. La découverte d’un paysage, une lumière, une rencontre, un visage, je m’en imprègne et laisse murir cette vision. Il m’apparait ainsi plus intéressant, plus puissant de faire jaillir une émotion plutôt que de se servir d’un modèle.

– Que cherchez-vous à véhiculer à travers vos peintures ?

J’aime la beauté de ce qui nous entoure sous toutes ses formes. Je rejette et enfouis dans mon esprit ce qui me déplait, j’estime que les grandes souffrances, intérieure ou extérieure ne sont pas à poser sur toile. L’art a toujours été pour moi une échappatoire vers la liberté, le rêve, le plaisir, c’est mon côté hédoniste. Réussir à transmettre au spectateur ce que je ressens, c’est-à-dire se laisser porter par son imaginaire au-delà de ce que l’on regarde, concevoir à partir d’une œuvre un début, une suite, une fin, ne pas figer une œuvre dans le temps. Cependant je ne peux rester insensible à ce qui m’entoure, sur l’avenir déroutant qui nous est annoncé par les médias, les scientifiques, les chercheurs tant au niveau de la sécurité, de l’environnement de l’économie et à présent des crises sanitaires, ce qui se mêle quelque fois à ma palette. Je peux constater ainsi sur certaines œuvres un mélange de quiétude et d’inquiétude. Aujourd’hui, je n’ai pas envie d’inclure dans ma peinture des opinions trop personnelles sur l’état actuel de notre planète par exemple, ou sur moi-même comme un autoportrait. Probablement par pudeur, cela viendra peut-être plus tard.

– Si vous deviez choisir parmi l’une de vos œuvres, laquelle choisiriez-vous ? Et pourquoi ?
Ce n’est pas évident de répondre car chacun de mes tableaux est fondé sur une émotion, il m’est difficile de piocher et d’éliminer les autres. Mais pour répondre à la question, je dirais qu’un croquis réalisé récemment pourrait être un concentré de mon travail actuel. Il représente un homme et une femme qui font une découverte sur des terres désertiques. C’est un peu comme une scène d’un film, mais là c’est au spectateur de s’imaginer le déroulement de l’histoire. L’homme dirige son regard vers l’horizon, qu’obverse-t-il, pourquoi est-il équipé d’un sac à dos, que signifie l’objet trouvé dans la main de la jeune femme, que font-ils dans ce lieu aride ? Le choix des lignes épurées, l’évocation de l’avenir à travers les tenues un brin futuristes, le paysage qui pourrait suggérer le chaos, contrasté avec la sérénité des personnages qui dégagent un vent d’espoir, c’est un mix de ce que je peins et ressens actuellement.

– Décrivez-moi votre environnement de travail ? 

Il n’est pas défini, je suis souvent la lumière le jour, j’aime peindre à l’extérieur. Je peins soit au calme, soit en musique, accompagnée d’un film, seule, entourée, je suis le vent du moment, rien n’est figé.

– A quoi ressemble votre journée type ?

J’ai vécu des années sans peindre ni dessiner. Aujourd’hui tout ce qui aurait pu être réalisé dans mon art fusionne dans ma tête, j’ai soif de poser mes créations sur papier, toile peu importe. Cependant, j’ai une double activité puisque je travaille aussi dans une entreprise familiale, je dois concilier les deux. Je suis donc en perpétuelle activité le jour, je peins tard dans la nuit, les week-ends la majeure partie de mon temps, pinceau ou crayon m’accompagnent, mais c’est un choix qui me convient.

–  Quel est votre prochain défi ?

Exposer mon travail sur des terres ou les portes s’ouvrent ou l’art est en effervescence, comme l’Asie, les Etats Unis, l’Europe du nord…La France impose des barrières parfois difficiles à franchir, beaucoup d’artistes doivent hélas faire leurs preuves à l’étranger pour pénétrer dans le cercle et être reconnus artistiquement.

– Que pensez-vous de la place des femmes artistes dans le monde de l’art ?

Je pense qu’aujourd’hui il ne règne plus de grande différence au niveau de la reconnaissance artistique. Beaucoup de femmes artistes ont su s’imposer dans ce milieu, et nous récoltons à présent les fruits semés. Je n’ai pas ressenti personnellement d’atteinte à ce niveau-là. Ce qui a été la seule contrainte en tant que femme, viendrait plutôt de mes choix et mon désir profond de privilégier mes enfants à mon art qui m’envahissait. J’ai peut-être fonctionné à l’ancienne, en étant une mère qui consacre la majeure partie de son temps à ses enfants, tels mes parents ou mes grands-parents. Cependant j’ai adoré cette époque, tout comme j’adore revenir aujourd’hui à mes pinceaux.

Que voudriez-vous ajouter ?

La vie nous oblige à nous conformer à d’innombrables règles. L’art permet de pulvériser ce cadre et j’ose propulser mon travail dans de nombreuses directions, sans limite, en ayant conscience que, soit je me tire une balle dans le pied, soit je mets au contraire un grand coup dans la fourmilière. Je veux dire par là qu’on me conseille de rester dans un conformisme, de ne pas m’éparpiller « c’est plus vendeur ». Je pense pourtant qu’un bon nombre d’artistes disposent de plusieurs cordes à leurs arcs, et ils souhaiteraient à mon avis être purement libre dans leurs actes artistiquement. Pourquoi enfermer un artiste dans le cercle conventionnel s’il propose un large éventail d’œuvres, ce sont des codes que je trouve incompréhensible, qu’il m’apparait important de faire disparaitre au profit d’une effervescence artistique qui pourrait en surprendre plus d’un.

Designers from Brazil have created renderings that think about the interiors of an eco-lodge in Patagonia for the design present Casa NaToca.

The theme for this yr’s Casa NaToca was “refuge” with taking part designer requested to design rooms for Mapu, a sustainable home and visitor lodges being constructed within the Chilean a part of Patagonia by a pair named Pati Beck and Gustavo Zylbersztajn.

Designers together with Bel Lobo, Leila Bittencourt, Paula Neder and Paola Ribeiro every contributed digitally rendered interiors of the lodge.

Des designers brésiliens ont créé des rendus qui réfléchissent aux intérieurs d’un éco-lodge en Patagonie pour Casa NaToca.

Cette année, le thème de Casa NaToca était le «refuge», le concepteur participant ayant demandé à concevoir des chambres pour Mapu, une maison durable et des pavillons pour les visiteurs en cours de construction dans la partie chilienne de la Patagonie par un couple nommé Pati Beck et Gustavo Zylbersztajn.

Les concepteurs ainsi que Bel Lobo, Leila Bittencourt, Paula Neder et Paola Ribeiro ont tous contribué au rendu intérieur numérique du lodge.

“Il est une chose admirable qui surpasse toujours la connaissance, l’intelligence, et même le génie, c’est l’incompréhension.” En juin 2021, un événement insensé bouleverse les vies de centaines d’hommes et de femmes, tous passagers d’un vol Paris-New York. Parmi eux : Blake, père de famille respectable et néanmoins tueur à gages ; Slimboy, pop star nigériane, las de vivre dans le mensonge ; Joanna, redoutable avocate rattrapée par ses failles ; ou encore Victor Miesel, écrivain confidentiel soudain devenu culte.
Tous croyaient avoir une vie secrète. Nul n’imaginait à quel point c’était vrai. Roman virtuose où la logique rencontre le magique, L’anomalie explore cette part de nous-mêmes qui nous échappe.

Harley-Davidson a donné aux visiteurs des jeux X d’ESPN d’ESPN à Aspen un aperçu de son concept de scooter électrique la semaine dernière. La moto de production 2020 a été présentée pour la première fois à EICMA 2018, puis au CES 2019, où deux concepts électriques Harley-Davidson ont également fait leurs débuts et laissent présager un avenir électrifié pour la marque. La vidéo ci-dessous montre le médaillé d’or des X-Games, Jacko Strong, prenant les prototypes de la société de ces concepts électriques pour un tour avec des critiques impressionnantes.

Harley-Davidson shows off its electric scooter concept and it’s pretty cool

harley-davidson gave visitors to ESPN’s winter X games in aspen a sneak peek at its electric scooter concept last week. the 2020 production motorcycle was first presented at EICMA 2018 and then at CES 2019, where two harley-davidson electric concepts also debuted and hinted towards an electrified future for the brand. the video below shows X games gold medalist jacko strong taking the company’s prototypes of its electric concepts for a spin with some impressive reviews.

Detective Hercule Poirot investigates the murder of a young heiress aboard a cruise ship on the Nile River.

Hooverphonic est un groupe de Trip hop belge formé en 1995 par Alex Callier (bassiste et programmeur), Raymond Geerts (guitariste), Frank Duchêne (clavier) et la chanteuse Esther Lybeert. Partie très vite du groupe, elle est néanmoins sur quelques démos du premier album. Elle est remplacée par Liesje Sadonius qui est sur la version studio finale du premier album. Celle-ci est partie après son enregistrement et remplacée brièvement par Kyoko Baertsoen de Lunascape, puis Geike Arnaert du deuxième album à 2008. Noémie Wolfs (originaire de Scherpenheuvel) fut la chanteuse du groupe jusqu’au 29 mars 2015

Voici la version originale (original version)

Hooverphonic is a Belgian band that formed in October 1995. Though originally categorized as a trip hop group, they quickly expanded their sound to the point where they could no longer be described as a lone genre, but rather encompass alternative, electronica, electropop, rock, and a mixture of others. The band originally called themselves Hoover, but later changed their name to Hooverphonic after discovering other groups were already using the Hoover name and to avoid any legal issues with the vacuum cleaner company.

Live at Koningin Elisabethzaal 2012 ❤️❤️❤️

Le projet «loft autrichien» de Tatyana Bobyleva, comprend la restauration d’un petit appartement dans un immeuble ancien. La structure du bâtiment ancien typique a été adaptée pour répondre aux exigences d’un style de vie moderne. La cuisine a été intégrée dans le salon.

The “Austrian loft” project by Tatyana Bobyleva, comprises the restoration of a small apartment in an old building. The typical old building structure was adapted to meet the requirements of a modern style of the living. The kitchen was integrated into the living area.

L’intrigue de cet intérieur vient du contraste des matériaux utilisés – briques rouges apparentes, murs verts lisses et sol en ciment. Tout cela apporte un côté dramatique. Ce qui fait un intérieur cosy, c’est sans aucun doute le choix du mobilier Gervasoni, et l’idée de dessiner un tapis avec de la peinture sur un sol en béton que nous avons vu dans les projets de Paola Navone.

The intrigue of this interior comes from the contrast in the materials used – exposed red bricks, green smooth walls, and a cement floor. All this brings drama. What makes a cozy interior is undoubtedly the choice of furniture Gervasoni, and the idea to draw a carpet with paint on a concrete floor we’ve seen in projects of Paola Navone.

La Tanzanie est située en Afrique de l’Est, en bordure de l’océan Indien. Coté terrestre, la Tanzanie est entourée par le Kenya, le Mozambique, le Congo, le Malawi, l’Ouganda, le Burundi, la Zambie et le Rwanda. Le pays compte 56 millions d’habitants appartenant à plus de 120 tribus différentes. Dar Es Salaam, située sur la côte, est la plus grande ville de Tanzanie comptant 2,6 millions d’habitants. La capitale officielle de la Tanzanie est Dodoma, une ville bien plus petite située vers le centre du pays.

En Tanzanie vivent plus de 120 tribus parlant au total plus de 100 langues. Les principales tribus sont les Sukuma, les Nyamwezi, les Haya, les Nyakyusa et les Chagga, qui comptent chacun plus d’un million de membres. Cependant, aucune tribu ne domine les autres, ce qui contribue à la stabilité du climat politique du pays.

Tanzania is located in East Africa, bordering the Indian Ocean. On the land side, Tanzania is surrounded by Kenya, Mozambique, Congo, Malawi, Uganda, Burundi, Zambia and Rwanda. The country has 56 million inhabitants belonging to more than 120 different tribes. Dar Es Salaam, located on the coast, is the largest city in Tanzania with 2.6 million inhabitants. The official capital of Tanzania is Dodoma, a much smaller town located towards the center of the country.

In Tanzania live more than 120 tribes speaking in total more than 100 languages. The main tribes are the Sukuma, Nyamwezi, Haya, Nyakyusa and Chagga, each with over one million members. However, no tribe dominates the others, which contributes to the stability of the political climate of the country.

Conçu comme un bureau à domicile pour un écrivain, ce 37 mètres carrés est une retraite idéale pour une contemplation tranquille. Les portes pliantes en verre s’ouvrent pour lui donner une forte connexion avec l’extérieur. Une ligne de toit inclinée et des fenêtres supérieures rehaussent la sensation d’espace. L’utilisation de matériaux organiques réchauffe l’esthétique moderne, avec un plafond et un sol en cèdre fabriqués à partir de fûts de whisky récupérés. À l’intérieur, deux colonnes de bibliothèques s’ouvrent pour révéler une demi-baignoire et un espace de rangement. À l’arrière, une terrasse est découpée dans la ligne de toit.

Designed as a home office for a writer, this 400-sq. ft. studio is an ideal retreat for quiet contemplation. Folding glass doors open to give it a strong connection to the outdoors. An angled roofline and upper windows enhance the sense of space. The use of organic materials warms the modern aesthetic, with a cedar ceiling and floor made from reclaimed whiskey barrels. Inside two columns of bookcases roll open to reveal a half-bath and storage area. On the rear, a terrace is cut out of the roofline.

Après son face à face avec Hannibal Lecter, en 1993, l’agent du FBI Clarice Starling retourne sur le terrain pour poursuivre des meurtriers et des prédateurs sexuels. Ses investigations l’amèneront aussi à enquêter sur les complots politiques qui se trament à Washington…

Set in 1993, a year after the events of The Silence of the Lambs, the series serves as a deep dive into the untold personal story of Clarice Starling (Rebecca Breeds), as she returns to the field to pursue serial murderers and sexual predators while navigating the high-stakes political world of Washington, D.C.