“Il est une chose admirable qui surpasse toujours la connaissance, l’intelligence, et même le génie, c’est l’incompréhension.” En juin 2021, un événement insensé bouleverse les vies de centaines d’hommes et de femmes, tous passagers d’un vol Paris-New York. Parmi eux : Blake, père de famille respectable et néanmoins tueur à gages ; Slimboy, pop star nigériane, las de vivre dans le mensonge ; Joanna, redoutable avocate rattrapée par ses failles ; ou encore Victor Miesel, écrivain confidentiel soudain devenu culte.
Tous croyaient avoir une vie secrète. Nul n’imaginait à quel point c’était vrai. Roman virtuose où la logique rencontre le magique, L’anomalie explore cette part de nous-mêmes qui nous échappe.
Kansas, un été plus chaud qu’à l’ordinaire. Une décapotable rouge fonce sur l’Interstate. Du sang coule dans un abattoir désaffecté. Une présence terrifiante sort de l’ombre. Des adolescents veulent changer de vie. Des hurlements s’échappent d’une cave. Des rêves de gloire naissent, d’autres se brisent. La jeune Hayley se prépare pour un tournoi de golf en hommage à sa mère trop tôt disparue. Norma, seule avec ses trois enfants dans une maison perdue au milieu des champs, essaie tant bien que mal de maintenir l’équilibre familial.
Quant à Tommy, dix-sept ans, il ne parvient à atténuer sa propre souffrance qu’en l’infligeant à d’autres… Tous trois se retrouvent piégés, chacun à sa manière, dans un engrenage infernal d’où ils tenteront par tous les moyens de s’extirper. Quitte à risquer le pire. Et il y a Helena… Jusqu’où une mère peut-elle aller pour protéger ses enfants lorsqu’ils commettent l’irréparable ? Après Les Loups à leur porte, Jeremy Fel aborde cette vertigineuse question dans une grande fresque virtuose aux allures de thriller psychologique.
Kansas, one summer hotter than usual. A red convertible on the interstate. Blood runs in a disused slaughterhouse. A terrifying presence comes out of the shadows. Teenagers want to change their lives. Howling escapes from a cellar. Dreams of glory are born, others break. Young Hayley is preparing for a golf tournament in homage to her mother gone too soon. Norma, alone with her three children in a house lost in the middle of the fields, tries hard to maintain the family balance.
As for Tommy, seventeen years, he managed to mitigate his own suffering only by inflicting on others… All three are trapped, each in his own way, in an infernal gear where they will attempt to extinguish by all means. Even risking the worst. And there’s Helena… How far can a mother go to protect her children when they commit the irreparable? After the wolves at their door, Jeremy Fel addresses this vertiginous question in a great mural virtuoso with psychological thriller allusions.
Dans une masure de Californie, l’amour absolu, monstrueux, d’un père pour sa fille. Un coup de poing.
C’est un huis clos sur un territoire immense, dans le nord de la Californie, formidablement présent et vibrant, ouvert sur l’océan, sauvage, dangereux, couvert de forêts inextricables où l’on se perd comme dans les contes. Un face-à-face mortifère entre un père et sa fille, son « amour absolu », retirés dans une maison à la déglingue, une cabane rustique, abandonnée par la mère depuis longtemps disparue. Une maison de mec, remplie d’armes et d’outils, de bottes et de chemises à carreaux. Le père, écolo tendance sociopathe, élève sa fille à la dure, l’entraîne au tir et à la chasse, fustigeant sans cesse un monde extérieur qui court à sa perte. Turtle, quatorze ans, préfère de loin courir les bois, solitaire et pieds nus, que rester coincée sur les bancs du collège en compagnie d’élèves dont l’univers n’a rien à voir avec le sien.
Gabriel Tallent, dont c’est le premier roman, distille par une infinité de détails l’ambiguïté opaque de la relation entre le père et la fille, le lecteur prenant peu à peu conscience du pouvoir qu’il exerce sur elle, de la manière dont il la possède, l’aime et la terrorise. Le texte passe sans cesse du regard objectif, de l’observation au scalpel, souvent glaçante, aux tourments de Turtle, écartelée entre son amour pour celui qui la couve, et l’étouffe et la violente, et la conscience confuse de devoir s’en émanciper pour survivre. Le roman se nourrit de ces ambiguïtés et contradictions, du sentiment de culpabilité qui accable l’adolescente, se fait de plus en plus brûlant, ajuste ses coups de plus en plus violents jusqu’à certaines scènes paroxystiques qui laissent le lecteur sonné. L’auteur joue de cette tension jusqu’à donner à ce roman d’amour monstre des allures de thriller, sans rien sacrifier pourtant de la subtilité, de la finesse, de la complexité de son propos. Le talent littéraire de Gabriel Tallent est à la hauteur de son immense ambition.
At 14, Turtle Alveston knows the use of every gun on her wall;
That chaos is coming and only the strong will survive it;
That her daddy loves her more than anything else in this world.
And he’ll do whatever it takes to keep her with him.
She doesn’t know why she feels so different from the other girls at school;
Why the line between love and pain can be so hard to see;
Why making a friend may be the bravest and most terrifying thing she has ever done
And what her daddy will do when he finds out
Sometimes strength is not the same as courage.
Sometimes leaving is not the only way to escape.
Sometimes surviving isn’t enough.
This book has challenged me like no other. It’s a masterpiece. A work of art on a page. I guarantee this book will take your breath away’ Joanna Cannon, author of The Trouble with Goats and Sheep.
Brutal yet beautiful, My Absolute Darling has floored me. Dear Turtle, a heroine amidst the horror. Exceptional, unflinching storytelling’ Ali Land?, author of Good Me Bad Me.
Une enfance violente et de terribles abus ont marqué à jamais la vie de Lisbeth Salander. Le dragon tatoué sur sa peau est un rappel constant de la promesse qu’elle s’est faite de combattre l’injustice sous toutes ses formes. Résultat : elle vient de sauver un enfant autiste, mais est incarcérée dans une prison de haute sécurité pour mise en danger de la vie d’autrui. Lorsqu’elle reçoit la visite de son ancien tuteur, Holger Palmgren, les ombres d’un passé qui continue à la hanter resurgissent. Quelqu’un a remis à Palmgren des documents confidentiels susceptibles d’apporter un nouvel éclairage sur un épisode traumatique de son enfance.
Pourquoi lui faisait-on passer tous ces tests d’intelligence quand elle était petite ? Et pourquoi avait-on essayé de la séparer de sa mère à l’âge de six ans ? Lisbeth comprend rapidement qu’elle n’est pas la seule victime dans l’histoire et que des forces puissantes sont prêtes à tout pour l’empêcher de mettre au jour l’ampleur de la trahison. Avec l’aide de Mikael Blomkvist, elle se lance sur la piste d’abus commis par des officines gouvernementales dans le cadre de recherches génétiques secrètes. Cette fois, rien ne l’empêchera d’aller au bout de la vérité.
THE GIRL WHO TAKES AN EYE FOR AN EYE BY DAVID LAGERCRANTZ
Lisbeth Salander is an unstoppable force: Sentenced to two months in Flodberga women’s prison for saving a young boy’s life by any means necessary, Salander refuses to say anything in her own defence. She has more important things on her mind.
Mikael Blomkvist makes the long trip to visit every week – and receives a lead to follow for his pains. For him, it looks to be an important expose for Millennium. For her, it could unlock the facts of her childhood.
Even from a corrupt prison system run largely by the inmates, Salander will stand up for what she believes in, whatever the cost. And she will seek the truth that is somehow connected with her childhood memory, of a woman with a blazing birthmark on her neck – that looked as if it had been burned by a dragon’s fire . . .
Trois femmes, trois vies, trois continents. Une même soif de liberté.
Inde. Smita est une Intouchable. Elle rêve de voir sa fille échapper à sa condition misérable et entrer à l’école.
Sicile. Giulia travaille dans l’atelier de son père. Lorsqu’il est victime d’un accident, elle découvre que l’entreprise familiale est ruinée.
Canada. Sarah, avocate réputée, va être promue à la tête de son cabinet quand elle apprend qu’elle est gravement malade.
Liées sans le savoir par ce qu’elles ont de plus intime et de plus singulier, Smita, Giulia et Sarah refusent le sort qui leur est destiné et décident de se battre. Vibrantes d’humanité, leurs histoires tissent une tresse d’espoir et de solidarité.
D’acier, de Silvia Avallone
Anna et Francesca ont treize ans, presque quatorze. C’est l’été à Piombino, ville désolée de Toscane bien loin de l’image de carte postale que l’on peut s’en faire quand on n’est pas d’ici. Chez elles, pas de vignes et Florence et son art sont bien loin. Leur quotidien : des barres d’immeubles insalubres et surtout l’aciérie, personnage monstrueux qui engloutit jour et nuit tous les hommes du coin.
“D’acier” est un roman physique, qui vous happe dès la première page, pour vous relâcher, quatre cents pages plus tard, un peu sonné, avec le sentiment d’être face à un futur grand écrivain qui, à tout juste vingt cinq ans, fait preuve d’un sens de la narration assez exceptionnel et d’une capacité à saisir l’essence de l’adolescence, ces amitiés fusionnelles qui nous construisent et cette obsession de la beauté, cette fascination régressive qu’elle peut susciter chez ceux qui n’en sont plus.
D’acier pourrait n’être qu’un portrait social sombre d’une Italie de banlieue, de laissés pour compte sans envergure, pauvres humains tentant de se dépêtrer d’un monde qu’ils n’ont pas vu venir. Il est bien plus que cela. L’acier est constitué d’au moins deux éléments. D’acier aussi : d’une réalité désespérante et d’une petite poésie qui s’élève malgré tout, et l’ensemble, ça donne un sacré bon roman.
Swimming to Elba, Silvia Avallone
The provocative international bestseller about two young girls growing up fast in a failing industrial town on the coast of Italy.
They were always a pair : daring, intelligent Anna and breathtakingly gorgeous Francesca. Just shy of fourteen, their newly acquired curves and skimpy bathing suits have earned them celebrity status on the beaches of their gritty town, where the glittering resort island of Elba taunts them from across the bay. The girls, aware of their newfound power, are on the brink of everything—high school, adulthood, ambition—but when their intense friendship suffers a blow, each sets off on her own, only to learn that the “glamorous” world of adult physicality can be at best banal and at worst dehumanizing. As their choices take them to a painful crossroads, the girls must reconnect if they have any hope of escaping their small-town destinies.
Frank, sensual, and evocative of the Academy Award–winning film Cinema Paradiso and the international bestseller The Solitude of Prime Numbers, Swimming to Elba is a harrowing yet redemptive meditation on politics, family, sex, and the lasting power of friendship.
“Je ne suis pas nostalgique de notre enfance: elle était pleine de violence. C’était la vie, un point c’est tout: et nous grandissions avec l’obligation de la rendre difficile aux autres avant que les autres ne nous la rendent difficile.”
Elena et Lila vivent dans un quartier pauvre de Naples à la fin des années cinquante. Bien qu’elles soient douées pour les études, ce n’est pas la voie qui leur est promise.
Lila abandonne l’école pour travailler dans l’échoppe de cordonnier de son père. Elena, soutenue par son institutrice, ira au collège puis au lycée. Les chemins des deux amies se croisent et s’éloignent, avec pour toile de fond une Naples sombre, en ébullition.
Formidable voyage dans l’Italie du boom économique, L’amie prodigieuse est le portrait de deux héroïnes inoubliables qu’Elena Ferrante traque avec passion et tendresse.
My brilliant friend, Elena Ferrante
A modern masterpiece from one of Italy’s most acclaimed authors, My Brilliant Friend is a rich, intense, and generous-hearted story about two friends, Elena and Lila. Ferrante’s inimitable style lends itself perfectly to a meticulous portrait of these two women that is also the story of a nation and a touching meditation on the nature of friendship.
The story begins in the 1950s, in a poor but vibrant neighborhood on the outskirts of Naples. Growing up on these tough streets the two girls learn to rely on each other ahead of anyone or anything else. As they grow, as their paths repeatedly diverge and converge, Elena and Lila remain best friends whose respective destinies are reflected and refracted in the other. They are likewise the embodiments of a nation undergoing momentous change. Through the lives of these two women, Ferrante tells the story of a neighborhood, a city, and a country as it is transformed in ways that, in turn, also transform the relationship between her protagonists, the unforgettable Elena and Lila.
Remariée à un brillant chirurgien, mère de trois enfants, Susan Morrow mène une vie plutôt paisible. Jusqu’à ce qu’elle reçoive un étrange présent : son premier mari Edward qui, plus jeune, se rêvait romancier, lui envoie le manuscrit de Bêtes de nuit, un roman qu’il vient d’achever, afin de connaître son avis, elle qui à l’époque l’encourageait tant à écrire. Le trouble naissant de Susan ne va faire que croître au fil de la lecture : ce livre raconte en effet le calvaire d’un homme, Tony, kidnappé sur l’autoroute avec sa femme et sa fille, alors qu’ils se rendaient dans leur maison de vacances dans le Maine. Inquiétant : Susan possède elle aussi une maison dans le Maine.
Que veut réellement lui révéler Edward… ? La lecture de Bêtes de nuit va être pour Susan le temps d’une pénible introspection et d’une réflexion sur le sens de sa propre vie.
Avec un incomparable talent, Austin Wright nous propose ici un roman policier haletant, d’une grande profondeur psychologique, ainsi qu’une puissante réflexion sur les pouvoirs de la lecture.
Tony and Susan, Austin Wright
In this intriguing accomplished novel, the author of Camden’s Eyes and several works of literary criticism combines a stark take on a film noir theme with a postmodern meditation on the act of reading. Susan Morrow is surprised to hear from her former husband Edward, who has written a novel entitled Nocturnal Animals, which he asks her to read.
The main character in the novel is Tony Hastings, who, in a late-night drive with his family from Ohio en route to Maine takes a detour down a dark road into death, confused grief and vengeance.
As Susan becomes involved in Tony’s journey, she relives her past life with Edward and reviews her present one with her current husband, Arnold–both men she could never “read” the way she reads Tony. She finds herself asking two questions: how will Tony survive his trip’s terrible events, and what sort of a man has Edward become? And because Edward is “real” and Tony is fictional, only her speculations about Tony will be answered to her satisfaction.
Written in contrasting styles–Tony’s account in sharp prose that ricochets in unexpected directions, Susan’s musings in fluid passages of emotional and sensory perceptions–the novel’s two stories mesh into a credible, suspenseful narrative. Wright infuses this excellent work with resonating observations about the reality of violence, where the loss of humanity is the price of revenge, and the “reality” of fiction and its place and power in day-to-day life.
Une femme est tombée d’un pont sur une voiture. Selon un témoin, elle aurait été poussée. L’enquête conduit Pia Kirchhoff et Oliver von Bodenstein à Altenhain où la victime, Rita Cramer, a vécu avant son divorce d’avec un certain Hartmut Sartorius. Onze ans plus tôt, deux jeunes filles du village avaient disparu sans laisser de trace. Sur la foi de maigres indices, un garçon de vingt ans, Tobias Sartorius, avait été arrêté et condamné à dix ans de prison.
Or, depuis quelques jours, Tobias est revenu chez son père à Altenhain… Dans le village, Pia et Bodenstein se heurtent à un mur de silence. Mais bientôt une autre jeune fille disparaît et les habitants accusent Tobias Sartorius, même si ce dernier a toujours clamé son innocence. Les preuves manquent, la police piétine et certains villageois semblent bien décidés à prendre les choses en main. Dans ce deuxième roman du duo Pia-Bodenstein, Nele Neuhaus construit une fois de plus une intrigue millimétrée autour des non-dits et de l’atmosphère étouffante d’un petit village allemand.
Procédant par dévoilements successifs, elle démonte patiemment les mécanismes d’une erreur judiciaire et analyse magistralement le fonctionnement de ces fascinantes machines à broyer les individus que sont parfois la justice et les préjugés. Succès colossal à sa sortie, Blanche-Neige doit mourir s’est vendu à plus d’un million d’exemplaires outre-Rhin. Depuis, Nele Neuhaus règne sans partage sur le domaine du “Krimi”.
SNOW WHITE MUST DIE, NELE NEUHAUS
Snow White Must Die by Nele Neuhaus is a tremendous new contemporary mystery series and huge international bestseller—with more than 3.5 million copies in print!
On a rainy November day police detectives Pia Kirchhoff and Oliver von Bodenstein are summoned to a mysterious traffic accident: A woman has fallen from a pedestrian bridge onto a car driving underneath. According to a witness, the woman may have been pushed. The investigation leads Pia and Oliver to a small village, and the home of the victim, Rita Cramer.
On a September evening eleven years earlier, two seventeen-year-old girls vanished from the village without a trace. In a trial based only on circumstantial evidence, twenty-year-old Tobias Sartorius, Rita Cramer’s son, was sentenced to ten years in prison. Bodenstein and Kirchhoff discover that Tobias, after serving his sentence, has now returned to his home town. Did the attack on his mother have something to do with his return?
In the village, Pia and Oliver encounter a wall of silence. When another young girl disappears, the events of the past seem to be repeating themselves in a disastrous manner. The investigation turns into a race against time, because for the villagers it is soon clear who the perpetrator is—and this time they are determined to take matters into their own hands.
An atmospheric, character-driven and suspenseful mystery set in a small town that could be anywhere, dealing with issues of gossip, power, and keeping up appearances.
Petits secrets, grands mensonges de Liane Moriarty
Jane, mère célibataire, vient d’emménager à Sydney avec son petit garçon et un secret qui est le sien depuis cinq ans. Le jour de la rentrée scolaire, elle rencontre Madeline, un personnage haut en couleur avec lequel il faut compter – elle se souvient de tout et ne pardonne jamais – et Céleste, une femme à la beauté époustouflante mais qui, paradoxalement, est toujours mal à l’aise. Elles prennent toutes deux Jane sous leur aile, en faisant attention de dissimuler leurs propres secrets. Cependant, quand un simple incident impliquant les enfants de chacune des trois femmes survient à l’école, les choses s’enveniment : les commérages vont bon train, les rumeurs empoisonnées se propagent jusqu’au point où il est impossible de démêler le vrai du faux.
You might know Liane Moriarty from her previously successful novels What Alice Forgot and The Husband’s Secret and her latest, Little Lies (or Big Little Lies, depending, confusiongly on what part of the world you’re in) has just been released.
Jane, a single mother, is on her way to Pirriwee Public School, where her son Ziggy is starting kindergarten. On the way, she meets Madeline, another mother with a daughter of the same age. Madeline’s friend Celeste is also sending her twin sons, Max and Josh, to school. The two strike up a friendship with Jane. All three of them have their own problems: Madeline is resentful that her daughter from her previous marriage is growing close to her ex-husband’s new wife, Bonnie. Celeste is physically abused by her rich banker husband, Perry. Jane is struggling with tracking down Ziggy’s father, with whom she had a drunken, violent one-night stand. To make matters worse for her, Ziggy is accused of bullying a classmate on his first day of school…
Qu’avez-vous fait de vos rêves de jeunesse ?
À la mort de sa mère, Brett Bohlinger pense qu’elle va hériter de l’empire de cosmétique familial.
Mais, à sa grande surprise, elle ne reçoit qu’un vieux papier jauni et chiffonné : la liste des choses qu’elle voulait vivre, rédigée lorsqu’elle avait 14 ans. Pour toucher sa part d’héritage, elle aura un an pour réaliser tous les objectifs de cette life list… Mais la Brett d’aujourd’hui n’a plus rien à voir avec la jeune fille de l’époque, et ses rêves d’adultes sont bien différents.
Enseigner ? Elle n’a aucune envie d’abandonner son salaire confortable pour batailler avec des enfants rebelles. Un bébé ? Cela fait longtemps qu’elle y a renoncé, et de toute façon Andrew, son petit ami avocat, n’en veut pas. Entamer une vraie relation avec un père trop distant ? Les circonstances ne s’y prêtent guère. Tomber amoureuse ? C’est déjà fait, grâce à Andrew, à moins que…
LIFE LIST, LORI NELSON SPIELMAN
In this utterly charming debut—perfect for fans of Cecelia Ahern’s P.S., I Love You and Allison Winn Scotch’s Time of My Life—one woman sets out to complete her old list of childhood goals, and finds that her lifelong dreams lead her down a path she never expects.
1. Go to Paris
2. Have a baby, maybe two
3. Fall in love
Brett Bohlinger seems to have it all: a plum job, a spacious loft, an irresistibly handsome boyfriend. All in all, a charmed life. That is, until her beloved mother passes away, leaving behind a will with one big stipulation: In order to receive her inheritance, Brett must first complete the life list of goals she’d written when she was a naïve girl of fourteen. Grief-stricken, Brett can barely make sense of her mother’s decision—her childhood dreams don’t resemble her ambitions at age thirty-four in the slightest. Some seem impossible. How can she possibly have a relationship with a father who died seven years ago? Other goals (Be an awesome teacher!) would require her to reinvent her entire future. As Brett reluctantly embarks on a perplexing journey in search of her adolescent dreams, one thing becomes clear. Sometimes life’s sweetest gifts can be found in the most unexpected places.
31 décembre 1976. New York se prépare pour le réveillon. Chez les Hamilton-Sweeney, Felicia accueille financiers et mondains tandis qu’à l’autre bout de la ville, dans le Lower East Side, Charlie attend Samantha pour assister à un concert punk. À quelques encablures de là, dans Hell’s Kitchen, Mercer Goodman tourne et retourne un délicat carton d’invitation. Et s’il se rendait à la réception des Hamilton-Sweeney pour retrouver Regan, cette sœur que William, son amant, lui a toujours cachée ? Pourquoi ne pas saisir l’occasion d’en apprendre plus sur lui, l’ancien leader du groupe punk Ex Post Facto ? Bientôt, des coups de feu retentissent dans Central Park. Une ombre s’écroule dans la neige. Qu’est-ce qui peut bien relier ces personnages à ce drame ? Alors que rien ne les prédestinait à se rencontrer, leurs histoires ne vont cesser de se croiser et de s’entremêler jusqu’au blackout du 13 juillet 1977. Une immense coupure de courant plonge alors New York dans le noir. Leurs vies en seront bouleversées à jamais… City on Fire est une ode à New York, un roman flamboyant et inoubliable sur l’amour, la trahison et le pardon, sur l’art, la vérité et le rock, et sur cette interrogation : qu’est-ce qui rend la vie digne d’être vécue ? Une presse dithyrambique ! ” Un roman brillant qui enveloppe une ville entière d’amants et d’ambitieux, de saints et d’assassins.
“The Washington Post” : Une épopée épique sur la condition humaine à la fois ambitieuse et sublime.
“Vanity Fair” : Un roman à l’ambition étonnante et à la force stupéfiante.
“The New York Times” : Un roman électrisant qui fait revivre le Manhattan brut des années 70. Comme une version punk de “La Maison d’âpre-vents” de Dickens.
“Vogue” : Un grand roman éblouissant.
“The New York Times” : Garth Risk Hallberg signe un premier roman à l’ambition vertigineuse.
CITY ON FIRE
New York City, 1976. Meet Regan and William Hamilton-Sweeney, estranged heirs to one of the city’s great fortunes; Keith and Mercer, the men who, for better or worse, love them; Charlie and Samantha, two suburban teenagers seduced by downtown’s punk scene; an obsessive magazine reporter and his idealistic neighbor—and the detective trying to figure out what any of them have to do with a shooting in Central Park on New Year’s Eve.
The mystery, as it reverberates through families, friendships, and the corridors of power, will open up even the loneliest-seeming corners of the crowded city. And when the blackout of July 13, 1977, plunges this world into darkness, each of these lives will be changed forever.
City on Fire is an unforgettable novel about love and betrayal and forgiveness, about art and truth and rock ’n’ roll: about what people need from each other in order to live . . . and about what makes the living worth doing in the first place.
National Best Seller • Named a Best Book of the Year by: New York Times, Washington Post, San Francisco Chronicle, NPR, Vogue, The Atlantic, Newsday
“A novel of head-snapping ambition and heart-stopping power—a novel that attests to its young author’s boundless and unflagging talents.” —Michiko Kakutani, New York Times
Jusqu’au jour du Drame, il y avait deux familles Goldman. Les Goldman-de-Baltimore et les Goldman-de-Montclair. Les Goldman-de-Montclair, dont est issu Marcus Goldman, l’auteur de La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert, sont une famille de la classe moyenne, habitant une petite maison à Montclair, dans le New Jersey. Les Goldman-de-Baltimore sont une famille prospère à qui tout sourit, vivant dans une luxueuse maison d’une banlieue riche de Baltimore, à qui Marcus vouait une admiration sans borne.
Huit ans après le Drame, c’est l’histoire de sa famille que Marcus Goldman décide cette fois de raconter, lorsqu’en février 2012 il quitte l’hiver new-yorkais pour la chaleur tropicale de Boca Raton, en Floride, où il vient s’atteler à son prochain roman. Au gré des souvenirs de sa jeunesse, Marcus revient sur la vie et le destin des Goldman-de-Baltimore et la fascination qu’il éprouva jadis pour cette famille de l’Amérique huppée, entre les vacances à Miami, la maison de vacances dans les Hamptons et les frasques dans les écoles privées. Mais les années passent et le vernis des Baltimore s’effrite à mesure que le Drame se profile. Jusqu’au jour où tout bascule. Et cette question qui hante Marcus depuis?: qu’est-il vraiment arrivé aux Goldman-de-Baltimore?
Entre la banlieue où elle habite et Londres, Rachel prend le train deux fois par jour : Le 8 h 04 le matin, le 17 h 56 le soir. Chaque jour elle est assise à la même place et chaque jour elle observe, lors d’un arrêt, une jolie maison en contrebas de la voie ferrée. Cette maison, elle la connaît par cœur, elle a même donné un nom à ses occupants qu’elle voit derrière la vitre. Pour elle, ils sont Jason et Jess. Un couple qu’elle imagine parfait. Heureux, comme Rachel et son mari a pu l’être par le passé, avant qu’il ne la trompe, avant qu’il ne la quitte. Rien d’exceptionnel, non, juste un couple qui s’aime. Jusqu’à ce matin où Rachel voit Jess dans son jardin avec n autre homme que Jason. Que se passe-t-il ? Jess tromperait-elle son mari ? Rachel, bouleversée de voir ainsi son couple modèle risquer de se désintégrer comme le sien, décide d’en savoir plus sur Jess et Jason. Quelques jours plus tard, c’est avec stupeur qu’elle découvre la photo de Jess à la une des journaux. La jeune femme, de son vrai nom Megan Hipwell, a mystérieusement disparu…
THE GIRL ON THE TRAIN, PAULA HAWKING
A debut psychological thriller that will forever change the way you look at other people’s lives.
Rachel takes the same commuter train every morning. Every day she rattles down the track, flashes past a stretch of cozy suburban homes, and stops at the signal that allows her to daily watch the same couple breakfasting on their deck. She’s even started to feel like she knows them. “Jess and Jason,” she calls them. Their life—as she sees it—is perfect. Not unlike the life she recently lost.
And then she sees something shocking. It’s only a minute until the train moves on, but it’s enough. Now everything’s changed. Unable to keep it to herself, Rachel offers what she knows to the police, and becomes inextricably entwined in what happens next, as well as in the lives of everyone involved. Has she done more harm than good?
Compulsively readable, The Girl on the Train is an emotionally immersive, Hitchcockian thriller and an electrifying debut.
Un soir de l’hiver 1979, quelque part dans Paris, j’ai croisé une femme de treize ans dont la reputation était alors «terrible».
Vingt-cinq ans plus tard, elle m’inspira mon premier roman sans que je ne sache plus rien d’elle qu’une photo de paparazzi. Bien plus tard encore, c’est elle qui me retrouva à un detour de ma vie où je m’étais égaré.
C’est elle la petite fée surgie de l’arrière monde qui m’a sauvé du labyrinthe et redonné une derniere fois l’élan d’aimer.
Par extraordinaire elle s’appelle Eva, ce livre est son éloge.
Simon Liberati
COUP DE COEUR DES LIBRAIRES
Plus qu’une biographie, Eva est un hommage rendu à une femme aimée, brisée par une enfance difficile. On y ressent une réelle prolongation de l’oeuvre d’Eva Ionesco elle-même dans son film “My little princess”. Une oeuvre poignante !
Barcelone années cinquante, le jeune Adrià grandit dans un vaste appartement ombreux, entre un père qui veut faire de lui un humaniste polyglotte et une mère qui le destine à une carrière de violoniste virtuose. Brillant, solitaire et docile, le garçon essaie de satisfaire au mieux les ambitions démesurées dont il est dépositaire, jusqu’au jour où il entrevoit la provenance douteuse de la fortune familiale, issue d’un magasin d’antiquités extorquées sans vergogne.
Un demi-siècle plus tard, juste avant que sa mémoire ne l’abandonne, Adrià tente de mettre en forme l’histoire familiale dont un violon d’exception, une médaille et un linge de table souillé constituent les tragiques emblèmes. De fait, la révélation progressive ressaisit la funeste histoire européenne et plonge ses racines aux sources du mal. De l’Inquisition à la dictature espagnole et à l’Allemagne nazie, d’Anvers à la Cité du Vatican, vies et destins se répondent pour converger vers Auschwitz-Birkenau, épicentre de l’abjection totale.
Confiteor défie les lois de la narration pour ordonner un chaos magistral et emplir de musique une cathédrale profane. Sara, la femme tant aimée, est la destinataire de cet immense récit relayé par Bernat, l’ami envié et envieux dont la présence éclaire jusqu’à l’instant où s’anéantit toute conscience. Alors le lecteur peut embrasser l’itinéraire d’un enfant sans amour, puis l’affliction d’un adulte sans dieu, aux prises avec le Mal souverain qui, à travers les siècles, dépose en chacun la possibilité de l’inhumain – à quoi répond ici la soif de beauté, de connaissance et de pardon, seuls viatiques, peut-être, pour récuser si peu que ce soit l’enfer sur la terre.
CONFESSIONS, JAUME CABRE
Adrià Ardevol is born into a loveless world. His father is harsh and distant; his mother almost entirely preoccupied with other things. In their Barcelona apartment, he learns to spy on their worlds, and to keep his feelings hidden, confiding only in his two small toys, a cowboy and an Indian chief. As he grows up, he comes to realise that his father’s obsession with antiques is not entirely innocent, and one of his father’s treasures, an 18th-century violin made by the master craftsman Lorenzo Storioni in Cremona, becomes central to his existence.
Although Adrià is the pivotal character in Cabré’s monumental novel, translated by Mara Faye Lethem, his is not the only narrative strand. In fact, the book begins with a village death in medieval times, and throughout we follow the fate of the hapless murderer, Jachiam of the Muredas, and the story of how he planted the tree from which the Storioni violin is made. In another medieval foray, the fate of monks in a remote monastery illustrates the violence of the past, and how those in power – at the time, the forces of the Inquisition – did not hesitate to use it to reinforce their position.
These stories are interwoven with similar skullduggery during the 18th century, when the violin falls into the hands of Parisian Monsieur Vial. But it is the manner in which it comes into Adrià’s father’s possession that inextricably intertwines the instrument’s journey with Adrià’s life. The violin’s fate is linked to the fate of the Jews under Nazi rule in occupied Europe, and with two doctors conducting experiments on Jewish children in Birkenau.
Cabré’s protagonist gradually becomes aware of the truth behind the violin’s past. The fact that it was extorted from victims of the Nazi horrors fills him with disgust, but also costs him the love of his life, the beautiful Jewish girl Sara. By the time the two of them meet, Adrià is a highly successful linguist, struggling to write about evil in a manuscript that turns out to be the novel itself.
Cet auteur m’a été proposé par Vanessa du Salon (de coiffure) au 31, rue Grimaldi à Monaco.
GLACE DE BERNARD MINIER
L’histoire :
Décembre 2008, dans une vallée encaissée des Pyrénées. Au petit matin, les ouvriers d’une centrale hydroélectrique découvrent le cadavre d’un cheval sans tête, accroché à la falaise glacée.
Le même jour, une jeune psychologue prend son premier poste dans le centre psychiatrique de haute sécurité qui surplombe la vallée.
Le commandant Servaz, 40 ans, flic hypocondriaque et intuitif, se voit confier cette enquête, la plus étrange de toute sa carrière. Pourquoi avoir tué ce cheval à 2 000 mètres d’altitude ? Serait-ce, pour Servaz, le début du cauchemar ?
Une atmosphère oppressante, une intrigue tendue à l’extrême, une plongée implacable dans nos peurs les plus secrètes, ce premier roman est une révélation !
Glacé a reçu le prix du meilleur roman français ou francophone au Festival Polar de Cognac 2011.
Un avion s’écrase sur une île déserte. Les seuls survivants sont des enfants, tous les adultes ont disparus. Ils parviennent à se regrouper, et à s’organiser. Trois personnalités émergent chez les plus grands : Ralph, le plus charismatique, élu rapidement chef de la bande ; « Porcinet », intellectuel et le plus sensé de la bande, mais ridiculisé par tout le monde à cause de son obésité, de son asthme et de sa myopie ; et Jack, autoritaire et dominateur, qui cherche à être élu chef, mais doit se soumettre, difficilement, à l’autorité de Ralph.
La petite société tient la route au début : on s’organise pour entretenir le feu qui doit alerter les secours, l’agressivité de Jack est canalisée en lui donnant la responsabilité de la chasse. Puis tout se craquelle : entretenir le feu est moins marrant que de parcourir l’île avec les chasseurs, des rumeurs courent sur une mystérieuse « bête » qui terrorise les plus petits, et qui donnent un prétexte à Jack et à ses chasseurs pour obtenir encore plus de pouvoir.
Lord of the flies, William Golding
In the midst of a wartime evacuation, a British plane crashes on or near an isolated island in a remote region of the Pacific Ocean. The only survivors are boys in their middle childhood or preadolescence. Two boys—the fair-haired Ralph and an overweight, bespectacled boy nicknamed “Piggy”—find a conch, which Ralph uses as a horn to call all the survivors to one area. Due largely to the fact that Ralph appears responsible for bringing all the survivors together, he is quickly elected their “chief”, though he does not receive the votes of the members of a boys’ choir, led by the red-headed Jack Merridew. Ralph asserts three primary goals: to have fun, survive, and to maintain a smoke signal that could alert passing ships to their presence on the island. The boys declare that whoever holds the conch shall also be able to speak at their formal gatherings and receive the attentive silence of the larger group.
DIOR NEW COUTURE, DE PATRICK DEMARCHELIER
Le second volume des collections Dior Haute Couture somptueusement revisitées par le photographe Patrick Demarchelier. La modernité explose dans ses mises en scène en grande pompe.
VINTAGE FASHION, OLIVIA DE LAMBERTERIE
Cette passionnante encyclopédie sur la mode vintage passe en revue plus de mille pièces et accessoires (du cardigan au turban en passant par la gaine) et rend hommage aux élégantes Louise Brooks en robe du soir foulard, Coco Chanel en marinière ou Grace Jones tout en épaulettes.
CRISTOBAL BALENCIAGA, DE SUSAN IRVINE
Le tailleur à taille haute, la robe-tunique, c’est lui. Plongez dans l’univers de Balenciaga, celui que Christian Dior tenait pour « notre maître à tous ».
LOVE, D’YVES SAINT LAURENT
De 1970 à 2007, Yves Saint Laurent a adressé ses voeux sous forme de cartes faites main, marquées du leitmotiv love. A l’entrelacs charnel du rouge, du noir et du blanc des débuts succèdent des arabesques sensuelles, des fleurs découpées, des photos de Moujik, son chien… De chaque love rayonne une invitation à la volupté, une étincelle d’amour qui va droit au coeur.
Aujourd’hui, Félicien, un jeune homme d’excellente famille, s’évade de la “maison de repos” où il tente, depuis cinq ans, de se remettre en douceur de sa fâcheuse manie de trucider les jolies blondes dans leur salle de bain. Tout cela parce que Justine, son premier amour, l’a trahi à trois reprises. Il lui reste quelques comptes à régler…
De cette saga d’un tueur, Thierry Rozo fait une tragi-comédie humaine, funeste et drôle à pleurer. Mais peut-être faudrait-il le prendre plus au sérieux, et se méfier. Les blondes, surtout!
LE BIZARRE INCIDENT DU CHIEN PENDANT LA NUIT de MARK HADDON
Qui a tué Wellington, le grand caniche noir de Mme Shears, la voisine ? Christopher Boone, ” quinze ans, trois mois et deux jours “, décide de mener l’enquête. Christopher aime les listes, les plans, la vérité. Il comprend les mathématiques et la théorie de la relativité. Mais Christopher ne s’est jamais aventuré plus loin que le bout de la rue. Il ne supporte pas qu’on le touche, et trouve les autres êtres humains… déconcertants.Quand son père lui demande d’arrêter ses investigations, Christopher refuse d’obéir. Au risque de bouleverser le délicat équilibre de l’univers qu’il s’est construit…
THE CURIOUS INCIDENT OF THE DOG IN THE NIGHT-TIME
The novel is narrated in the first-person perspective by Christopher John Francis Boone, a 15-year-old boy who describes himself as “a mathematician with some behavioural difficulties” living in Swindon, Wiltshire. Although Christopher’s condition is not stated, the book’s blurb refers to Asperger syndrome, high-functioning autism, or savant syndrome. In July 2009, Haddon wrote on his blog that “Curious Incident is not a book about Asperger’s….if anything it’s a novel about difference, about being an outsider, about seeing the world in a surprising and revealing way. The book is not specifically about any specific disorder,” and that he, Haddon, is not an expert on autism spectrum disorder or Asperger syndrome.
L’ILE DES CHASSEURS D’OISEAUX
Marqué par la perte récente de son fils unique, l’inspecteur Fin Macleod, déjà chargé d’une enquête sur un assassinat commis à Edimburg, est envoyé sur Lewis, son île natale, où il n’est pas revenu depuis dix-huit ans. Un cadavre exécuté selon le même modus operandi vient d’y être découvert. Cependant, dès l’autopsie effectuée par le médecin légiste, Fin ne croit plus à un lien entre les deux affaires. Sur cette île tempêtueuse du nord de l’Écosse, couverte de landes, où l’on se chauffe à la tourbe, pratique encore le sabbat chrétien et parle la langue gaélique, Fin retrouve les acteurs de son enfance, à commencer par Ange, chef tyrannique de la bande dont il faisait partie. Marsaili, son premier amour, vit aujourd’hui avec Artair. Ce même Artair dont le père a perdu la vie en sauvant celle de Fin lors de l’expédition qui, chaque année, depuis des siècles, conduit une douzaine d’hommes sur An Sgeir, rocher inhospitalier à plusieurs heures de navigation, pour y tuer des oiseaux nicheurs. Que s’est-il passé il y a dix-huit ans entre ces hommes, quel est le secret qui pèse sur eux et ressurgit aujourd’hui ? Sur fond de traditions ancestrales d’une cruauté absolue, Peter May nous plonge au coeur de l’histoire personnelle de son enquêteur Fin Macleod. Fausses pistes, dialogues à double sens, scènes glaçantes l’auteur tient le lecteur en haleine jusqu’à la dernière page.
L’HOMME DE LEWIS
En rupture de ban avec son passé, Fin Macleod retourne sur son île natale de Lewis. La mort tragique de son jeune fils a pulvérisé son mariage. Impuissant et résigné, il a quitté la police. La lande balayée par les vents, la fureur de l’océan qui s’abat sur le rivage, les voix gaéliques des ancêtres qui s’élèvent en un chant tribal : il pense pouvoir retrouver ici un sens à sa vie.
Mais, Fin à peine arrivé, on découvre le cadavre d’un jeune homme, miraculeusement préservé par la tourbière. Les analyses ADN relient le corps à Tormod Macdonald, le père de l’amour de jeunesse de Fin, et font de lui le suspect n° 1. C’est une course contre la montre qui s’engage alors : l’inspecteur principal est attendu sur l’île pour mener l’enquête et il n’épargnera pas le vieil homme, atteint de démence sénile.
Au rythme des fulgurances qui traversent l’esprit malade de Tormod, le passé ressurgit, douloureux, dramatique, et dévoile le sort que la société écossaise a réservé pendant des décennies aux «homers» : ces enfants orphelins ou abandonnés que l’Église catholique envoyait sur les îles Hébrides.
Après L’île des chasseurs d’oiseaux, on retrouve ici avec bonheur la figure d’un enquêteur indécis à la croisée des chemins, tenté de construire son avenir sur les cendres du passé. L’Écosse mystérieuse, majestueuse et sauvage est un écrin de rêve pour ces vies dans la tourmente, magistralement orchestrées par Peter May.
LE BRACONNIER DU LAC PERDU
Depuis qu’il a quitté la police, Fin Macleod vit sur son île natales des Hébrides, à l’ouest de l’Ecosse. Engagé pour pourchasser les braconniers qui pillent les eaux sauvages des domaines de pêche, il retrouve Whistler, son ami de jeunesse. Le plus brillant des enfants de Lewis. Le plus loyal aussi qui, par 2 fois, lui a sauvé la vie. Promis au plus bel avenir, il a pourtant refusé de quitter l’île où il vit aujourd’hui comme un vagabond ; sauvage, asocial, privé de la garde de sa fille unique. Et d’entre tous, il est le plus redoutable des braconniers. Quand Fin se voit contraint de le traquer, Whistler, de nouveau, l’arrache à la mort et le conduit jusqu’à un lac qui abrite depuis 17 années l’épave d’un avion.L’appareil que tous croyaient abimé en mer, recèle le corps d’un homme assassiné.
Dans sa quête pour résoudre l’énigme, Fin opère un retour vers le passé qui le confronte aux 3 femmes qui ont marqué sa vie : Marsali qui a hanté toute son existence, Mairead à la voix pure qui a envouté ses premières années d’homme, Mona dont l’a séparé pour toujours la mort tragique de leur fils.
Opus final de la trilogie de Lewis, “Le Braconnier du lac perdu” en est aussi le plus apocalyptique. Alors que ressurgissent les démons enfouis et que les insulaires affrontent une nature dévastatrice, l’heure des comptes a sonné et les damnés viennent réclamer leur lot de victimes.
href=”http://lapetitevestenoire.chanel.com/fr_FR/home”>La petite veste noire
THE LITTLE BLACK JACKET
Erica Falck, trente-cinq ans, auteur de biographies installée dans une petite ville paisible de la côte ouest suédoise, découvre le cadavre aux poignets tailladés d’une amie d’enfance, Alexandra Wijkner, nue dans une baignoire d’eau gelée. Impliquée malgré elle dans l’enquête (à moins qu’une certaine tendance naturelle à fouiller la vie des autres ne soit ici à l’oeuvre), Erica se convainc très vite qu’il ne s’agit pas d’un suicide. Sur ce point – et sur beaucoup d’autres –, l’inspecteur Patrik Hedström, amoureux transi, la rejoint.
A la conquête de la vérité, stimulée par un amour naissant, Erica, enquêtrice au foyer façon Desperate Housewives, plonge dans les strates d’une petite société provinciale qu’elle croyait bien connaître et découvre ses secrets, d’autant plus sombres que sera bientôt trouvé le corps d’un peintre clochard – autre mise en scène de suicide.
Fabrice Humbert explore avec sensibilité et distance la mémoire et l’héritage de ses aînés, fondateurs d’un phalanstère à Clamart.
On aime beaucoup
Avant de fouiller la mémoire de sa famille, Fabrice Humbert en présente un arbre généalogique « simplifié ». L’adjectif est à prendre au sens noble, annonciateur d’un roman soucieux de ne pas se perdre dans les replis d’un nombril, ni de prêter aux morts des pensées qu’ils n’eurent probablement jamais. Deux branches cousines poussent à côté l’une de l’autre. Celle de Madeleine, la grand-mère de l’auteur, bloc de silence, en apparence malmenée par une vie de labeur et de mauvais choix matrimoniaux. Celle de Sarah, cousine de Madeleine, en apparence gâtée par une vie d’opulence et de bonheur conjugal. En apparence, car le récit de Fabrice Humbert prouvera que les trajectoires en ligne droite n’existent pas, qu’une petite-fille (celle de Sarah) jouant du piano à la perfection peut très bien finir en prison pour avoir fréquenté le groupe armé Action directe, qu’un petit-fils (celui de Madeleine) distribuant des coups de pied à sa tante et ne venant pas au secours de son meilleur ami peut très bien finir par écrire ce roman juste et bienveillant, sensible à l’humanité de chaque être.
Peut-être le style fraternel de Fabrice Humbert est-il un legs de ses ancêtres, fondateurs après la guerre d’une communauté protestante baptisée Fraternité. Le début du livre raconte comment quelques familles construisirent à Clamart ce phalanstère idéal, cet « éden utopie », de leurs propres mains, avec du matériel de récupération, un ex-voto glissé à l’intérieur de chaque brique. Parmi les bâtisseurs, la famille Jospin, parents d’un petit Lionel, giflé à 11 ans par le pasteur à qui il avait chipé sa nouvelle Simca. Fabrice Humbert ne s’attarde pas sur le futur ministre car « les célèbres et les puissants se meuvent mal dans la fragile dentelle de la littérature », dit-il au détour des commentaires sur son travail d’écriture qui émaillent ce roman d’une étonnante pudeur. Fabrice Humbert se regarde écrire, mais à bonne distance. Jamais il ne s’épanche, se cramponnant à la méthode (entretiens menés auprès de ses proches, plus ou moins prolixes), pour fuir ce qu’il abhorre : l’autofiction. Un film est en tournage, d’après L’Origine de la violence (2009), son roman le plus connu, sur l’effroi d’un professeur qui croit reconnaître son père parmi les photos de déportés lors d’une visite du camp de Buchenwald. Plus abouti, Eden Utopie sera sans doute plus difficile à adapter au cinéma. Pourtant très ancré dans la réalité, ce livre est aussi agité par la question sous-jacente et mystérieuse qui hanta l’enfance de Fabrice Humbert : « Comment sortir de l’imaginaire ? »
LETTRES D’AMOUR DE GRANDS HOMMES EDITE PAR URSULA DOYLE
Lettres d’amour de Grands Hommes recueille certaines des lettres les plus romantiques de l’histoire des correspondances intimes de Beethoven, Mark Twain, Mozart, et Lord Byron. Pour certains de ces grands hommes, l’amour est «un poison délicieux” (William Congreve) ; pour d’autres, “une belle femme douce sur un canapé avec un bon feu” (Charles Darwin). L’amour peut brûler comme la chaleur du soleil (Henry VIII), ou pénétrer dans les profondeurs du cœur de quelqu’un comme une pluie glaciale (Flaubert). Toutes les nuances de l’amour sont ici, de l’éloquence exquise d’Oscar Wilde au simple dévouement de Robert Browning, à la misère merveilleusement moderne du Romain Pline le Jeune, se perdre dans le travail pour oublier combien son épouse bien-aimée, Calpurnia lui manque.
Mises ensemble, ces lettres montrent que peut-être les hommes n’ont pas beaucoup changé au cours des 2000 dernières années – la passion, la jalousie, l’espoir et la nostalgie règnent encore dans leurs cœurs et leurs esprits. A l’âge de l’email et sms “JTM”, cette collection intemporelle et unique nous rappelle que rien ne peut se comparer à la simple joie de s’asseoir pour lire une lettre de celui que l’on aime.
Love Letters of Great Men follows hot on the heels of the film and collects together some of history’s most romantic letters from the private papers of Beethoven, Mark Twain, Mozart, and Lord Byron. For some of these great men, love is “a delicious poison” (William Congreve); for others, “a nice soft wife on a sofa with good fire, & books & music” (Charles Darwin). Love can scorch like the heat of the sun (Henry VIII), or penetrate the depths of one’s heart like a cooling rain (Flaubert). Every shade of love is here, from the exquisite eloquence of Oscar Wilde and the simple devotion of Robert Browning, to the wonderfully modern misery of the Roman Pliny the Younger, losing himself in work to forget how much he misses his beloved wife, Calpurnia.
Taken together, these letters show that perhaps men haven’t changed all that much over the last 2,000 years–passion, jealousy, hope and longing still rule their hearts and minds. In an age of e-mail and texted “i luv u”s, this timeless and unique collection reminds us that nothing can compare to the simple joy of sitting down to read a letter from the one you love.
Comme tous les étés, des milliers de touristes débarquent sur l’île d’Öland pour fêter la Saint-Jean. Parmi eux cette année-là, un vieil homme à l’allure inquiétante qui rôde autour du domaine des Kloss, propriétaire d’un vaste complexe touristique. Un «Revenant» venu régler ses comptes…
Initiée avec L’Heure trouble, prix du meilleur polar suédois, la série d’Öland s’achève magistralement avec ce huis-clos hanté par les fantômes du passé. Romancier des territoires inexplorés où les frontières s’estompent et le crépuscule envahit le paysage et le cœur des hommes, Johan Theorin s’impose comme un maître du thriller psychologique.
« Theorin est l’héritier d’un Simenon transposé dans le monde du XXIe siècle, latitude nord… » Le Figaro Magazine
Like every summer, thousands of tourists arrive on the island of Öland to celebrate Midsummer. Among them that year, an old man in alarming rate lurking around the area of Kloss, owner of a large tourist complex. A “ghost” came back to settle accounts …
Initiated with the disorder Hour, award for best Swedish crime fiction, the series of Öland ends brilliantly with this enclosed haunted by the ghosts of the past. Novelist of uncharted territory where the boundaries are blurred and dusk and the twilight invades the landscape and the heart of men, Johan Theorin is becoming a master of the psychological thriller.
” Theorin is the heir of a Simenon transposed into the world of the twentieth century”, north latitude, Figaro Magazine
BLACK BIRD de Anna Carey (Cours ou meurs)
Présentation de l’éditeur (Bayard Jeunesse) :
Tu ne sais pas qui tu es, mais eux le savent. Imagine…
Tu te réveilles allongé(e) sur les rails du métro de Los Angeles ; une rame fonce vers toi.
Tu y échappes in extremis et, reprenant tes esprits, tu te rends compte que tu n’as aucun souvenir : tu ne sais pas ce que tu fais là, ni même qui tu es.
Tes seuls indices : les vêtements que tu portes et qui ne te semblent pas être les tiens, une cicatrice dans ton cou, un tatouage sur ton bras représentant un oiseau et une succession de chiffres et de lettres, et ton sac à dos, contenant quelques vivres et habits de rechange, une bombe lacrymogène, un couteau et un carnet.
Dans le carnet est écrit un petit mot : on te conseille d’appeler un certain numéro et de ne prévenir personne, surtout pas la police.
Au bout du fil, un homme te donne l’adresse d’un immeuble de bureaux et te demande de l’y rejoindre.
Tu lui obéis et, trouvant la porte close, tu y entres par effraction.
BLACK BIRD BY ANNA CAREY
This twisty, breathless cat-and-mouse thrill ride, told in the second person, follows a girl with amnesia in present-day Los Angeles who is being pursued by mysterious and terrifying assailants.
A girl wakes up on the train tracks, a subway car barreling down on her. With only minutes to react, she hunches down and the train speeds over her. She doesn’t remember her name, where she is, or how she got there. She has a tattoo on the inside of her right wrist of a blackbird inside a box, letters and numbers printed just below: FNV02198. There is only one thing she knows for sure: people are trying to kill her.
On the run for her life, she tries to untangle who she is and what happened to the girl she used to be. Nothing and no one are what they appear to be. But the truth is more disturbing than she ever imagined.
The Maze Runner series meets Code Name Verity, Blackbird is relentless and action-packed, filled with surprising twists.
MILLENIUM – LES HOMMES QUI N’AIMAIENT PAS LES FEMMES – LA FILLE QUI REVAIT D’UN BIDON D’ESSENCE ET D’UNE ALLUMETTE – LA REINE DANS LE PALAIS DES COURANTS D’AIR
Millénium est une trilogie de romans policiers de l’écrivain suédois Stieg Larsson, publiée en Suède de juillet 2005 à mai 2007. Cette saga — titrée Millennium, dans les éditions en suédois et dans diverses autres langues (allemand, anglais, espagnol, etc.) — a obtenu un succès mondial1 : plus de vingt-six millions d’exemplaires vendus jusqu’en juillet 20102. Fin janvier 2011, le total des ventes s’élevait à cinquante millions d’exemplaires3.
Elle se compose de trois romans : Les Hommes qui n’aimaient pas les femmes, La Fille qui rêvait d’un bidon d’essence et d’une allumette et La Reine dans le palais des courants d’air. Un quatrième roman, (où Lisbeth Salander et sa soeur jumelle Camilla devaient revenir sur le devant de la scène), aurait dû lui aussi paraître, mais l’auteur est décédé en cours de rédaction.
LES HOMMES QUI N’AIMAIENT PAS LES FEMMES (2005)
Depuis quarante-quatre ans, Harriet Vanger, la nièce bien aimée de l’industriel Henrik Vanger a disparu. Il est persuadé qu’un membre de sa famille l’a assassinée. En parallèle, le célèbre journaliste Mikaël Blomkvist est condamné pour diffamation dans l’affaire Wennerstrom. Vanger convainc Blomkvist d’enquêter sur l’assassinat de Harriet. Au cours de son enquête, Mikaël Blomkvist va faire la rencontre d’une jeune fille atypique aux multiples talents, Lisbeth Salander, qui va l’aider à élucider le mystère.
LA FILLE QUI REVAIT D’UN BIDON D’ESSENCE ET D’UNE ALLUMETTE (2006)
Un an après la double affaire Vanger/Wennerstrom, nous retrouvons Lisbeth Salander et Mikaël Blomkvist dans une nouvelle histoire. Lisbeth est accusée d’un double homicide d’une rare violence à Stockholm, dont les victimes se trouvent être des connaissances de Blomkvist. Rapidement, elle se trouve accusée d’un troisième meurtre et un avis de recherche national est lancé. Lisbeth entame alors une longue cavale pour d’une part échapper à la police et d’autre part résoudre cette énigme : qui a tué ces gens et pourquoi ? Elle sera soutenue par son ami journaliste ainsi que par son ami et ancien employeur, Dragan Armanskij.
LA REINE DANS LE PALAIS DES COURANTS D’AIR (2007)
Ce troisième tome est la suite directe du précédent. Dans cet ultime volet, on retrouve Lisbeth Salander à l’hôpital, isolée et sous mandat d’arrêt. De son côté, Mikaël Blomkvist s’attaque à une nouvelle enquête de taille dans le but d’aider son amie : trouver qui, dans la police de sécurité (Säpo), tient à détruire une fois encore la vie de Lisbeth Salander. L’ennemi est colossal cette fois-ci, mais les soutiens envers Lisbeth plus nombreux aussi, saura-t-on enfin pourquoi et comment ?
MILLENIUM SERIES
The Millennium series consists of three bestselling and award-winning Swedish novels, written by Stieg Larsson (1954–2004). The two primary characters in the saga are Lisbeth Salander, a woman in her twenties with a photographic memory and poor social skills, and Mikael Blomkvist, an investigative journalist and publisher of a magazine called Millennium. Blomkvist, the character, has a history similar to Larsson, the author. Larsson planned the series as having ten installments, but due to his sudden death, only three were completed and published.
THE GIRL WITH THE DRAGON TATTOO (2005)
Journalist Mikael Blomkvist has been convicted of libelling billionaire industrialist Hans-Erik Wennerström and wants to escape the media attention. He is hired by industrial tycoon Henrik Vanger under the guise of writing a biography of Henrik and the Vanger family, while really investigating the 36 year old disappearance of Henrik’s niece Harriet. He teams up with the introverted and skilled computer hacker Lisbeth Salander.
THE GIRL WHO PLAYED WITH FIRE (2006)
Mikael Blomkvist is contacted by freelance journalist Dag Svensson in regards to having Millennium publish his expose on the sex trade in Sweden, which includes implicating government officials. Svensson and his girlfriend are murdered and the police believe Lisbeth Salander is the culprit. Blomkvist works to prove Salander’s innocence while also trying to finish Svensson’s piece and finds that both are connected.
THE GIRL WHO KICKED THE HORNETS’NEST (2007)
Having learned of a secret group within the Swedish Security Service that has committed several constitutional violations against Lisbeth Salander, Mikael Blomkvist and a group of policemen from Swedish Security Service’s Constitutional Protection division try to learn who its members are and have Salander cleared of the murder charges against her.
LE MAITRE DES ILLUSIONS DE DONNA TARTT
Ecrit en dix ans et publié à l’âge de 28 ans, « Le maître des illusions » est un de ces pavés mythiques que les lecteurs se recommandent, par bouche à oreille, d’année en année. Il est l’oeuvre d’une jeune Américaine, née à Greenwood, Mississippi, écrivain précoce, publiant ses premiers poèmes à treize ans et camarade de lycée d’un certain Bret Easton Ellis à qui elle a notamment dédié ce premier roman. Publié en 1993, ce campus-novel, en forme de faux-thriller, qui entremêle passion intellectuelle, littéraire et sentiments absolus jusqu’à la folie meurtrière, fut un succès mondial. Traduit dans 23 langues, « The Secret History », son titre original, fit de Donna Tartt une star littéraire.
RESUME
Je suppose qu’à un moment de ma vie, j’aurais pu avoir bien d’autres histoires en réserve, mais maintenant il n’y en a plus qu’une.
C’est la seule histoire que je serai jamais capable de raconter. En décrochant une bourse à l’université de Hampden, dans le Vermont, Richard Papen ne laisse pas grand chose derrière lui : la Californie, qui lui déplaît ; son adolescence, faite de souvenirs incolores ; et ses parents, avec qui il ne s’entend pas.
Hampden est une porte de sortie inespérée, l’opportunité de vivre une nouvelle vie. Passées quelques semaines, il est bientôt attiré par un professeur atypique, Julian Morrow, esthète capricieux qui enseigne les lettres classiques à cinq étudiants apparemment très liés.
Contre l’avis de ses professeurs, il tente de s’introduire dans le groupe de ces jeunes gens marginaux sur qui courent les plus folles rumeurs. Et il est loin d’imaginer ce que lui coûtera sa curiosité. Le monde de Donna Tartt est pragmatique, froidement réel.
D’une plume précieuse et nette, chirurgicale, elle part à la recherche de notre part de perversité et creuse en profondeur.
L’écrivain américain livre dans ce premier roman une intrigue surprenante, aux rebondissements inattendus qui laisse entrevoir qu’elle a beaucoup de talent. Trop sûrement pour ceux qui ont le sommeil léger. –Hector Chavez